Ils concernent le secteur ferroviaire, les énergies renouvelables dont le Maroc entend devenir un champion, la transition énergétique ou encore la coopération en matière de connectivité énergétique.
Il est notamment prévu que le groupe français Egis participe à la réalisation du deuxième tronçon de la ligne de train à grande vitesse Tanger-Marrakech. Alstom va aussi y prendre part en négociant la fourniture de 12 à 18 rames de trains à grande vitesse, selon des sources concordantes. Le premier tronçon avait été inauguré par le roi et le président français en 2018.
« Alstom est ravi d’avoir été sélectionné », a indiqué le groupe à l’AFP. La nouvelle génération de trains présente un « coût de cycle de vie par siège le plus compétitif du marché actuel et améliore significativement l’expérience des passagers », a-t-on ajouté.
Toujours sur le ferroviaire, le ministre français de l’Economie Antoine Armand a signé avec son homologue une déclaration d’intention portant sur des « facilités de financement » dans le secteur.
Par ailleurs, le français TotalEnergies a signé un accord pour le « développement de la filière hydrogène » vert au Maroc.
Il a déjà conclu en mai un accord similaire avec la Tunisie en vue d’édifier un grand complexe de production et d’exportation d’hydrogène vert dans le sud du pays.
Engie et l’Office chérifien des phosphates ont, de leur côté, signé un accord de « partenariat dans la transition énergétique », dont les énergies renouvelables.
L’Agence Française de Développement va aussi aider la filière marocaine des phosphates à décarboner sa chaîne d’exploitation via un prêt de 350 millions d’euros.
Enfin, EDF a signé de son côté un protocole d’accord portant sur l’extension du parc éolien de Taza (est).