« C’est une question de volonté », a-t-il souligné, lors de cet échange largement consacré au système de santé du territoire palestinien.
Dans le nord de Gaza seulement trois des 25 hôpitaux fonctionnent encore et les soins y sont réduits « à leur plus simple expression », a-t-il dit.
La bande de Gaza est bombardée par Israël depuis l’attaque sans précédent sur son territoire du mouvement islamiste Hamas le 7 octobre, qui a fait 1.200 morts israéliens et conduit à la prise de 240 otages, selon les autorités israéliennes.
Le pilonnage -qui selon les autorités du Hamas a fait près de 15.000 morts- ne s’est interrompu que depuis qu’une pause humanitaire a été instaurée en fin de semaine dernière, pour permettre la libération de plusieurs dizaines d’otages aux mains des mouvements jihadiste de Gaza, en échange de la libération de prisonniers palestiniens en Israël.
Elle doit aussi permettre l’accélération de l’aide humanitaire cruciale pour la survie des quelque 2,4 millions de gazouillis.
Avec AFP