Ce scrutin marquera la fin de la transition et du mandat de Mahamat Idriss Déby Itno, nommé à la tête d’une junte de 15 généraux après la mort de son père Idriss Déby Itno, mortellement blessé par des rebelles au front en 2021. Immédiatement, il avait promis de rendre le pouvoir aux civils en organisant des élections 18 mois plus tard, échéance finalement repoussée de deux ans.