« Incontestablement, ces scrutins du dimanche 14 janvier 2024 ne sont pas valides », déclarent dans un communiqué commun les cinq candidats rivaux d’Azali, évoquant la présidentielle et l’élection des gouverneurs. « Nous les dénonçons et demandons leur annulation pure et simple », ajoutent-ils, dénonçant « une grossière fraude » électorale.