Orano, groupe français spécialiste du combustible nucléaire, a estimé mercredi que le redémarrage du site de production d’uranium de sa filiale Somaïr, au Niger, à l’arrêt en raison de son bras de fer avec le régime au pouvoir, serait « très long ».
Fin 2024, le groupe a acté la perte du contrôle opérationnel de ses filiales minières au Niger, les sociétés Somaïr, Cominak et Imouraren. Il les a donc sorties de ses comptes à partir du 1er décembre.