Le Caire, fortement endetté, a déjà procédé à une dévaluation de sa monnaie de 50% ces derniers mois alors que le FMI fait du flottement de la livre une condition à son aide. La plongée de mercredi a été suscitée par une hausse historique du taux directeur de six points à 27,25% pour, selon la Banque centrale, lutter contre l’inflation et réduire le fossé entre le taux de change officiel et celui du marché noir.