Entre le 8 mars et le 27 mars, en raison de l’intensification des violences des gangs qui contrôlent la majorité de la capitale, 53.125 personnes ont quitté la capitale, pour rejoindre principalement les départements du Grand Sud qui accueillaient déjà 116.000 déplacés ayant fui les mois passés, a précisé l’OIM dans un communiqué.