Les violences liées aux gangs de narcotrafiquants en Equateur, déclaré en état de « conflit armé interne » par le président Daniel Noboa, ont fait au moins 10 morts, dont deux policiers, selon un premier bilan, a annoncé mardi soir la police.
Huit morts et trois blessés ont été recensés dans la ville portuaire de Guayaquil (sud-ouest), fief des gangs de narcotrafiquants, a déclaré un chef de la police locale lors d’une conférence de presse. La police a indiqué sur le réseau social X que deux agents avaient également été « vicieusement assassinés par des criminels armés » dans la ville voisine de Nobol.