« Il n’y a pas d’acte que la Cour suprême puisse annuler en vertu de sa compétence », a déclaré Avril Lovelace-Johnson qui a présidé le panel des sept juges de la Cour suprême lors de l’annonce de sa décision. La loi, qui entrera en vigueur après sa ratification par le président Nana Akufo-Addo, prévoit jusqu’à trois ans d’emprisonnement pour une personne se livrant à des activités LGBT+ et une peine de prison allant de cinq à dix ans pour celle impliquée dans la « promotion » de l’homosexualité.