« Le Conseil de sécurité a failli à son devoir de maintenir la paix et la sécurité internationales » en ne condamnant pas la frappe du 1er avril contre le consulat iranien à Damas, et « dans ces conditions, la République islamique d’Iran n’a pas eu d’autre choix que d’exercer son droit à l’autodéfense », a-t-il déclaré, assurant que Téhéran ne voulait pas d’escalade mais répondrait à « toute menace ou agression ».